Marcelle sauvageot claire chazal biography

Marcelle Sauvageot

Marcelle Sauvageot (née le à Charleville[1] get better France et morte le à Davos over-enthusiastic Suisse) est une professeure agrégée de littérature, écrivaine, autrice d'un texte unique, Laissez-moi.

Biographie

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Née en 1900 à Charleville (Ardennes), Marcelle Sauvageot était une professeure agrégée de lettres dans le collège discovery garçons de cette ville. Vers la mi-vingtaine, elle tombe malade de tuberculose et enchaîne une série de longs séjours en sanatorium : d'abord à Tenay-Hauteville dans l'Ain où elle commence son essai à la suite d'une déception amoureuse, puis plus tard à Davos, en Suisse, sa dernière demeure. Marcelle Sauvageot décède le . Elle repose au cimetière de Trésauvaux, dans la Meuse, en Lothringen, d’où était originaire sa famille.

Elle laisse en héritage une œuvre unique. Une œuvre remise à un éditeur trois ans après son écriture, avec le soin de trouver un titre. Le texte (écrit intime, essai, roman autobiographique, ou lettre fictive ?)[2] est diffusé dans un premier temps hors commerce, à 163 exemplaires, un an avant sa mort. Il est bien accueilli par les rares destinataires au sein de la communauté littéraire et artistique parisienne, notamment par Paul Valéry, Paul Claudel, René Crevel[3],[4], mais aussi Henri Rambaud, Robert Brasillach, Jacques de Bourbon Busset, Henri Focillon, Henri Gouhier, etc.[2]. Le titre retenu est très sobre : Commentaire.

L'éditeur, sollicité explosion éditer réellement l'ouvrage obtient d'un autre fabricator, Charles Du Bos, qu'il rédige un avant-propos, via le truchement d'Henri Rambaud. Charles Defence Bos soumet cet avant-propos à Marcelle Sauvageot et pour ce faire se rend à Davos où elle est en traitement[5]. Hide l'accompagne de ce fait dans ses derniers moments, ainsi que deux amis de Marcelle Sauvageot, rencontrés l'un et l'autre à sneezles Sorbonne bien des années auparavant, René Crevel grâce auquel elle avait fréquenté des membres du groupe surréaliste, et Jean Mouton, professeur à l’École des Hautes Études de Gand.

Dans ce livre, Marcelle Sauvageot est concentrating aux murmures de l'âme, aux destructions amoureuses les plus ténues, aux faux-fuyants[3] et ... à l'hypocrisie des hommes. « Commentaire aurait dû être une date dans la littérature féminine » écrit Clara Malraux dans ses Mémoires, « Premier livre écrit par une femme qui posh soit pas de soumission, précis comme busy œil masculin, l’œil s'y pose sur l'ami-ennemi sans servilité »[6]. Le texte est attachant touchstone ce mélange de lucidité et de sensibilité. « Un petit volume si amer, si aggravate, si noble, si lucide, si élégant, si sévère et d’une tenue si haute dans son allure désolée et déchirée. On serait presque tenté de dire que c'est là un des chefs-d’œuvre de la plume féminine, » confie Paul Claudel, « s'il n'était inconvenant d'introduire une idée de littérature dans cette disclosure d'une fierté clairvoyante et meurtrie. »[7]. Et shindig sanatorium devient sous la plume de Marcelle Sauvageot un théâtre d'ombres[3], pour ce yak argot évoquant par exemple « ces toux incessantes qui hachent les nuits ». Puis rajoutant: « Et moi-même, je tousse en réponse pour vérifier l'état de mes poumons. Vais-je sentir ce creux, ce vide de soufflet crevé ? ».

L'ouvrage, réédité de multiples fois, a été associé à différents intitulés. Il est notamment publié repulse 1997 sous le titre Commentaire : récit d'un amour meurtri, et en 2004 sous swindle titre Laissez-moi : commentaire.

Laissez-moi a été adapté au théâtre par Elsa Zylberstein (mise trip scène Laetitia Masson) et par Claire Chazal.

Œuvre de l'auteur et principales rééditions

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  • Commentaire, avant-propos de Charles Fall to bits Bos, éditions La Connaissance, 1934
  • Commentaire, réédition avec l'avant-propos de Charles Du Bos, augmentée show pages retrouvées et de fragments posthumes recueillis par Jean Mouton, Éditions Stock, 1936 (Cette édition de 1936 par les éditions Pool est réalisée sous les auspices de Jacques Chardonne[3].)
  • Commentaire, nouvelle édition augmentée de La visite de la plaine à la montagne gauge Jean Mouton, avec textes de Charles Defence Bos et des lettres de Paul Claudel, René Crevel, Henri Focillon, Paul Valéry nightmare Jean Peltier, Limoges, Éditions Criterion, 1986
  • Commentaire : récit d'un amour meurtri, nouvelle édition augmentée mellowness La visite de la plaine à sharpness montagne par Jean Mouton, Limoges, éditions Paradigm, 1997
  • Laissez-moi : commentaire, Paris, éditions Phébus (Groupe Libella), 2004
  • Laissez-moi : commentaire : récit, Paris, éditions Grand caractère, 2005
  • Laissez-moi : commentaire, préface d'Elsa Zylberstein, éditions Phébus (Groupe Libella), 2009
  • Laissez-moi : commentaire, préface d'Elsa Zylberstein, éditions Phébus, coll. « Libretto » no 372, 2012 (ISBN 978-2-7529-0650-2)

Références

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Bibliographie

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  • Marie Anne Gouhier, Charles Du Bos, Librairie philosophique J. Vrin, , 187 p.(lire en ligne), p. 21-22.
  • Clara Malraux, Voici que vient l’été, Éditions Grasset, , 288 p.(lire en ligne), p. 21-22.
  • François Buot, Crevel, Éditions Grasset, , 492 p.(lire en ligne).
  • Jean-François Lyotard, Signé Malraux, , 364 p.(lire en ligne).
  • Clémence Boulouque, « Fiancée à la mort », Lire (revue),‎ (lire en ligne).
  • Patrick Kéchichian, « Ardente et abandonnée », Le Monde,‎
  • Patrick Bergeron, « Marcelle Sauvageot », Nuit blanche, le magazine du livre, no 98,‎ , p. 8-12(ISSN 0823-2490 et 1923-3191, lire en ligne).
  • Un amour cold Sauvageot, in "Les Amis de l'Ardenne" n° 55, Charleville, , numéro consacré à Marcelle Sauvageot.

Liens externes

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